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OCTOBRE 2019

EDITO

 

Le FIMI, une production SNAC-UCMF

En association avec Cristal Publishing

 

Lorsque l’idée d’un rendez-vous nomade autour de notre métier de compositeur de musique à l’image se manifesta en 2017 au cours d’une réunion au SNAC*, qui aurait pu supposer que deux ans plus tard, nous en soyons déjà à élaborer notre 7ème édition ?

(voir plus bas un résumé des épisodes précédents avec les thématiques propres à chacun).

Quelle serait l’utilité d’un tel rendez-vous ? Quels intervenants pour quel public ?

L’UCMF en la personne de votre serviteur a immédiatement répondu présent pour l’élaboration, la mise en oeuvre et le suivi d’un tel projet.

Pour celles et ceux qui auraient perdu la mémoire voire le sens commun, la musique à l’image fait partie d’un écosystème au sein duquel elle doit (re)trouver toute sa place pour faire face à l’évolution des pratiques de fabrication d’une œuvre audiovisuelle.

Nous savons tous que chaque contrat proposé est un nouveau défi, artistique cela va sans dire, mais également contractuel !

Que de questions devons-nous appréhender !...

Que prévoit le contrat de commande, celui-ci englobe-t-il la fabrication de la musique, pourquoi céder une part de mes droits à un éditeur si celui-ci ne s’engage pas à une exploitation permanente et suivie des œuvres commanditées, quid des mises en compétition imposées par certaines sociétés de production, etc. ?

Pour tenter d’y répondre, les FIMI réunissent tous les acteurs de la filière : producteur, éditeur, compositeur, réalisateur, superviseur musical, diffuseur, avocat, distributeur, auteur, institution ou organisme du secteur.

L’enjeu : établir des règles de bonnes conduites entre professionnels de la filière musicale audiovisuelle et les communiquer.

Selon notre philosophie, échanger pour mieux se comprendre = fluidifier les relations interprofessionnelles.

Certes nul ne sait si tout ira pour le mieux dans le meilleur des mondes, mais qui n’ose rien n’obtient rien.

J’ai toujours cru dans les vertus de l’échange car ne faut-il pas rassembler ce qui est épars plutôt que de se regarder en chiens de faïence à perpétuité ?


À titre d’exemple, je vous propose de vivre de l’intérieur notre dernier FIMI et fais appel ici à l’un de nos confrères, Alexandre Lessertisseur (photo ci-dessus), intervenant lors de notre dernière édition du 11 septembre dernier pour vous faire part de ses commentaires non censurés :

« La table ronde de ce FIMI était un bon moment d’échange convivial et cordial. Mais la route est encore (toujours) longue pour défendre nos conditions de compositeur à l’image. L’arrivée des ordinateurs et des « banques de son » orchestrale ou autres, a démocratisé l’accès à ce métier, et c’est une bonne chose. Mais à un certain coût assumé par les compositeurs. A savoir celui des ordinateurs très puissant, pour composer en temps réel, bien plus puissant que ceux utilisés pour le montage ou pour l’écriture de scénarios. Mais aussi les différents plugin et programmes du compositeur tel Logic, Cubase ou l’incontournable ProTools. Que l’on doit constamment renouveler pour cause d’obsolescence programmée. Et bien évidement ces « banques de sons » qui sont de véritables bout d’enregistrement et dont la qualité est proportionnelle au prix d’achat.

Or les producteurs ne sont pas vraiment conscients de ces coûts de production dont nous avons hérités. Avec le temps s’est donc instauré l’idée que la musique coutait moins chère à produire, nécessitant un simple ordinateur comme pour les auteurs. Ce n’est qu’en partie vrai. Mais dans ces temps de réduction budgétaire, il est difficile de lutter contre cette idée rependue. Et ainsi le « package deal » qui regroupe de manière insidieuse la prime de commande et la production exécutive de la musique à progressivement diminué.

Récemment dans le village global dans lequel nous sommes, l’arrivée de nouveau diffuseurs surpuissant (Netflix, Amazon…) change encore la donne, et remettent pour l’instant en cause le montant des droits d’auteur versés. Tout en augmentant la pression et les difficultés sur nos producteurs et diffuseurs nationaux. Il faut donc continuer d’échanger avec ces derniers pour leur expliquer nos enjeux.

Si nous n’avons plus d’argent en amont de notre travail (prime de commande et production mélangées et diminuées), ni en aval (droit d’auteur symbolique sur internet et édition coercitive) alors comment allons-nous rester professionnel, c’est à dire vivre de notre métier ? Et même si c’est une passion, elle mérite rémunération ! 

Cette table ronde était très importante pour établir les bases d’une convention interprofessionnelle pour l’écriture et la fabrication de la musique à l’image. Mais il faut aussi établir ou renforcer les ponts avec les productions et les diffuseurs pour aider à appliquer cette convention en devenir. »

Ainsi donc, les FIMI vont poursuivre leur route en distribuant la parole à chacune des composantes du métier pour enfin définir un accord de bonne conduite.

Pour information, nos prochaines éditions seront captées et bénéficieront d’une page dédiée sur les réseaux sociaux pour vous permettre de suivre l’évolution de nos débats.

N’hésitez pas à nous rejoindre physiquement ou virtuellement, votre expérience et vos réflexions sont importantes.

À bientôt pour nos prochains rendez-vous !

Musicalement,

Joshua Darche
Trésorier UCMF
Vice-Président du SNAC
Membre Commission de l’Audiovisuel SACEM

 

Calendrier des FIMI depuis leur début :

Festival de la Fiction TV – septembre 2017 – La Rochelle

- Le financement de la musique de fictions ou de documentaires

- Le contrat de commande

Festival du film d’Aubagne – mars 2018

- La formation en question

- Le juste équilibre dans une relation compositeur – commanditaire établie par le contrat de commande

Festival international du film de la Rochelle – juin 2018

- Composer la musique pour l’image en 2018

Festival de la Fiction TV – septembre 2018

- Les revenus du compositeur

- Les nouveaux contrats d’édition

Marché International du Film d’Animation – juin 2019

- Travailler pour l’animation

Festival de la Fiction TV – septembre 2019

- Convention interprofessionnelle pour l’écriture et la fabrication de la musique à l’image ?

- Un an après les nouveaux contrats d’édition rédigés par les organisations d’éditeurs de musique : quelle application dans l’audiovisuel pour des nouveaux contrats conformes au Code des usages et des bonnes pratiques signées en octobre 2017.

ADAMI – Janvier 2020

- Les droits voisins pour les compositeurs, pour la plupart interprètes principaux de leurs œuvres.

 

*SNAC = Syndicat National des Auteurs et des Compositeurs

FESTIVALS

 


Festival de Cinéma et Musique de La Baule

Invité d’honneur Gabriel Yared

La 6ème édition du Festival du Cinéma et Musique de Film de La Baule, organisée par Christophe Barratier et Sam Bobino, en partenariat avec la Ville de La Baule, aura lieu du 6 au 11 novembre 2019. Alex Jaffray fera l'ouverture avec son one-man show, Jean-Michel Bernard dirigera le concert hommage à Pierre Richard.


L'invité d'Honneur de cette 6ème édition sera le compositeur international Gabriel Yared. Cet hommage lui sera rendu à l'occasion de son 70ème anniversaire et de ses 40 ans de carrière avec plus de 100 musiques de films composées essentiellement pour le cinéma.

Gabriel Yared donnera un grand concert à La Baule pour l'occasion.

http://www.festival-labaule.com/

INTERVIEW DE GABRIEL YARED, par l’UCMF

UCMF : Après le prix UCMF,  vous êtes l’invité d’honneur du Festival de La Baule, c'est une belle année 2019, comment vous sentez-vous ?

GY : Je suis très honoré d’avoir reçu cette année le prix UCMF, et aussi de revecoir bientôt un hommage au Festival de La Baule.  Et dans quelques jours, à l’occasion de l’événement « Hollywood in Vienna »., la ville de Vienne me remettra le Max Steiner Award. J’y donnerai, les 18 et 19 octobre, deux concerts avec orchestre symphonique et chœurs, et deux masterclass (je n’aime pas beaucoup ce mot, je préfère la notion de transmission d’expérience) à l’Université de musique de Vienne. Ravi de recevoir tous ces hommages, mais ce n’est quand même pas la fin de ma carrière de compositeur car j’ai encore beaucoup de choses à dire à l’aube de mes 70 ans !

UCMF : Le festival de La Baule vous rend hommage cette année, qu'en pensez-vous ?

GY : Je suis très heureux d’autant plus qu’il s’agit d’un festival consacré au cinéma ET à la musique de film. J’y donnerai un concert en petite formation de 12 musiciens : un double quintette à cordes, deux bois, et mes amis solistes : Juan José Mosalini au bandonéon, Lewis Morrison au saxophone. Et enfin, deux solistes chanteuses: Héloïse Poulet, jeune soprano que j’ai découverte à Valenciennes lors d’un festival où j’étais invité , qui interprétera la chanson de Tatie Danielle ; et Yasmina Joumblatt, avec laquelle je réalise et produis un album de chansons originales, qui chantera deux chansons : Bittersweet Love, dont elle a écrit les paroles sur une musique que j’ai composée, et enfin une reprise de Lullaby for Cain, extraite du film « The Talented Mr Ripley », pour laquelle elle a écrit une adaptation en arabe. Quant à moi, je serai comme toujours au piano.

Il y aura aussi au programme de ce concert des suites tirées de mes musiques pour Camille Claudel, 37.2 Le Matin, Le Patient Anglais etc...

UCMF : Quels sont vos projets pour cette année ?

GY : Je viens de terminer la musique pour un film de Ruppert Goode, Judy, avec Renée Zellweger, qui retrace les  trois dernières années de la vie de Judy Garland. Ce film est sorti aux USA et en Angleterre, et sortita bientôt en France. Je commence bientôt à travailler avec un jeune réalisateur libanais qui a fait ses études de cinéma à Columbia aux USA, Jimmy Keyrouz, sur un très beau projet : Broken Keys. Il s’agit de l’histoire d’un pianiste syrien dont le piano a été quasiment détruit par des intégristes et qui tente de le reconstruire pièce par pièce,  dans un pays ravagé par la guerre .

UCMF :  Que pensez-vous de la jeune génération de réalisateurs, travaillent-ils différemment avec les compositeurs?

GY :Je ne sais pas s’ils travaillent différemment mais je pense qu’ils sont, de par leur jeunesse, leur fraîcheur, plus ouverts et disposés à prendre des risques, à « oser », notamment quand il s’agit de la musique de film. Ils comprennent mon approche qui consiste à travailler avec eux en amont et à chercher ensemble la « couleur » musicale...

UCMF :  En quoi le cinéma a t-il changé ces dernières années en terme de production de musique de film?

GY : En terme de production de musique de film, les budgets sont peut-être moins « confortables ». Mais ce n’est pas tant ce changement qui me trouble, c’est surtout cette fâcheuse habitude de plaquer des musiques temporaires sur un film en montage, avant même d’avoir songé à engager un compositeur.

 

Interview exclusive pour l’UCMF
de Christophe Barratier et Sam Bobino :



Festival du Cinéma et Musique de Film : « Nous voulons devenir une référence au service des compositeurs de musique de film, en France et partout dans le monde ».

Interview des deux présidents et fondateurs du Festival du Cinéma et Musique de Film de La Baule, le réalisateur Christophe Barratier (« Les Choristes », « Faubourg 36 », « L’Outsider »…) et l’organisateur d’évènements, Sam Bobino (également délégué général de la Semaine du Cinéma Positif à Cannes), à l’approche de la 6ème édition du festival, dont l’UCMF est partenaire, qui aura lieu à La Baule, du 6 au 11 novembre prochain.

UCMF : Le Festival de La Baule est désormais un événement  incontournable.  Votre affiche, comme tous les ans, est  magnifique , Gabriel Yared, Jean Michel Bernard et Pierre Richard, Alex Jaffray en ouverture... On a l’impression que vous vous faites plaisir et que vous avez envie de faire plaisir à tous les publics ? 

CB & SB : A chaque édition, nous essayons de proposer un programme de qualité. Nous avons la chance d'accueillir à La Baule de magnifiques talents, français comme internationaux, pour notre plus grand plaisir et celui des festivaliers. Cette année, c'est Gabriel Yared qui sera l'invité d'honneur du festival. Nous en profiterons pour fêter ses 70 ans et célébrer ses 40 ans de carrière pour lesquels il recevra un Ibis d'Or. Après Francis Lai, Michel Legrand, Lalo Schifrin, Vladimir Cosma et Eric Serra, ce sera le sixième grand compositeur de musique de film à être à mis à l'honneur durant le festival. Jazz, électro-rock, classique… nous essayons de proposer un répertoire et des genres les plus variés possible, ce qui est la nature même de la musique de film.

UCMF : En dehors de ces têtes d’affiches vous pouvez nous en dire plus sur vos autres invités sur la manifestation ?

CB & SB : Comme son nom l'indique, nous sommes un festival de cinéma et de musique de film. Chaque année, en plus du compositeur à l'honneur, nous rendons hommage aussi à une grande actrice ou un grand acteur. Après Catherine Deneuve et Gérard Depardieu, qui était venu chanter Barbara l'an passé, c'est au tour de Pierre Richard de recevoir un hommage pour ses 60 ans de carrière. C'est Jean-Michel Bernard, qui avait déjà accompagné Lalo Schifrin, lors de sa venue à La Baule, qui sera au piano pour rendre hommage au "grand blond". Il sera accompagné du grand violoniste Laurent Korcia et du saxophoniste Olivier Defays (le propre fils de Pierre Richard). Nous célèbrerons aussi les 110 ans de la naissance de Paul Misraki et organiserons une table ronde autour de la musique à l'image en présences des lauréats des Prix UCMF 2019. De nombreuses master class seront animées par Stéphane Lerouge, qui est aussi le conseiller artistique du festival. Nous avons créé aussi cette année, ce que nous appelons « la Factory ». Pendant une semaine, les meilleurs élèves des CNSMD de Paris et de Lyon et du Conservatoire Paul Dukas à Paris, vont devoir créer une oeuvre sur place qui sera récompensée du Prix Révélation Jeune talent. Nous allons aussi honorer la star américaine William Baldwin (« Backdraft », « Sliver »..), quant au président du Jury, ce sera André Téchiné.

UCMF : Quelles sont vos ambitions et vos envies pour les années à
venir ? 

CB & SB : L'objectif du festival est bien sûr de grandir et de devenir "la maison" et le rendez-vous incontournable des compositeurs de musique de film, pour devenir une référence au service des compositeurs, en France et partout dans le monde. Depuis la disparition du Festival d'Auxerre, il n'y avait plus en France de grande manifestation consacrée à la musique de film, à part Aubagne. Nous avons souhaité renouer avec l’esprit qui régnait à Auxerre, qui s’était donné les moyens de recevoir des monstres sacrés comme John Barry ou Maurice Jarre. 

UCMF : Qui sont les compositeurs que vous souhaiteriez absolument avoir ?

CB & SB : Rien de moins que  Ennio Morricone et John Williams, bien sûr. Et puis d’autres grands compositeurs également, à qui nous aimerions aussi rendre hommage pour honorer leur carrière, comme Howard Shore, Danny Elfman, Hans Zimmer, Nicola Piovani ou Alexandre Desplat, porte-drapeau de l’excellence française en la matière.

UCMF : Lors de votre manifestation des prix sont décernés. Que pensez vous de la position d’un des plus grands festivals du monde et de son directeur Général Thierry Frémaux qui se refuse à ouvrir véritablement le débat sur cette question malgré les interventions de Bertrand Tavernier ou encore de Claude Lelouch, considérant les compositeurs comme des techniciens et pas comme le 3ème auteur d’un film ?

CB & SB : Personne ne peut contester que le compositeur est auteur à part entière du film au même titre que le réalisateur ou le scénariste. Les interventions de personnalités comme Claude Lelouch ou Bertrand Tavernier, auxquelles vous faites allusion, soutenus en cela par la Sacem, ont permis de remettre en valeur les compositeurs de musique de film à cannes. Après, c’est aussi pour ca, pour combler un peu ce manque et offrir aux compositeurs de musique de film une tribune et participer à la reconnaissance qu’ils méritent, que le festival de La Baule a été créé.

UCMF : Sam et Christophe, quel est la force de votre duo à votre avis ?

CB & SB : La complémentarité. 

UCMF : Christophe, qu’est ce qui vous énerve le plus chez Sam ? 

CB : Il est plus grand et plus mince que moi et il a la chance de vivre une partie de l’année à La Baule, face à la mer.

UCMF : Sam, qu’est ce qui vous agace le plus chez Christophe ?

SB : On ne peut pas le battre au quizz musical. Christophe a été musicien, il l’est toujours d’ailleurs et il est incollable en matière de musique.

6ème Festival du Cinéma et Musique de Film de La Baule, du 6 au 11 novembre. Toutes les infos sur : www.festival-labaule.com

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Le Festival Paris Podcast se tient pour la 2ème année du 18 au 20 octobre prochain à la Gaité Lyrique. La SACEM en est partenaire et met en place les actions suivantes : avant-première de plusieurs podcasts inédits en présence des compositeurs de musiques originales, organisation d’un atelier séminaire autour de la réalisation d’un podcast avec la participation d’un compositeur, Prix de la musique originale.

En tant que partenaire, la Sacem souhaite faire bénéficier 10 compositeurs de 10 accréditations gratuites. Merci d’envoyer un mail avant le 17 octobre pour obtenir cette accréditation. Premier arrivé, premier servi !

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Le Festival Effervescence de Mâcon accueille Philippe Rombi, Béatrice Thiriet et Nathanaël Bergese pour une table ronde autour de l’écriture de la musique de films le 11 octobre.

https://www.festivaleffervescence.fr/table-ronde-ecrire-la-musique-dun-film/

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Les Ciné-Concerts du Festival Lumière, du 12 au 20 octobre

http://www.festival-lumiere.org/

APPELS A PROJETS


23e Festival international de Valence - Scénaristes et Compositeurs

Appel à projet scénariste & compositeurs 1er au 4 avril 2020

http://www.scenarioaulongcourt.com/-APPEL-A-PROJETS-2020Competition

Allez-y vite !

 

FORMATIONS

 

Fun mooc « Les fondamentaux du droit d’auteur »

https://www.fun-mooc.fr/courses/course-v1:UPSUD+42005+session01/about

Proposé par l’Université Paris-Sud / Paris-Saclay – par le Centre d'Études et de Recherche en droit de l'immatériel (CERDI) – et Sacem Université, département pédagogique de la Société des Auteurs, Compositeur et Éditeurs de Musique (SACEM), ce cours en ligne est destiné à toutes celles et ceux qui veulent découvrir ou mieux comprendre le droit d’auteur.

 

FORMATION CIFAP

https://mailchi.mp/109c9c7c85ad/utilisez-votre-cif-avant-son-ventuelle-disparition-1259691?e=37595faf5e

ACTUS

LIRE A LIMOGES

3ème Edition du Salon du Livre de Musique Thématique Musiques de films

https://www.unilim.fr/culture/events/event/3eme-edition-du-salon-du-livre-de-musique-thematique-musiques-de-films-un-evenement-lire-a-limoges/

Avec Jean-Claude Petit, Hélène Blazy, Alain Jomy, Christian Gaubert, et Vladimir Cosma !

« Nanook of the North », Nouvel album de Christine Ott paraitra le 25 octobre chez Gizeh Records. C’est la bande originale imaginée par Christine Ott et Torsten Böttcher sur le documentaire éponyme de Robert Flaherty.

 

PIANO PARADISO

A près Piano Rigoletto, le nouveau spectacle d'Alain Bernard : il reprend à partir du 7 octobre au théâtre des Deux Ânes.

De ses premiers cours de piano aux bandes originales, en passant par la pub, le piano-bar et autres tribulations, nous suivons son parcours plein d’humour et de tendresse et partageons avec lui une émouvante déclaration d’amour à la musique de cinéma.

https://www.alain-bernard.fr/



 

Le documentaire « André Malraux, l’épreuve du pouvoir », de Xavier Villetard, et dont Gréco Casadesus a composé la musique, était diffusé sur Arte le 9 octobre 2019 à 22h50 (à voir en replay).

 

Patrick Vincent (nommé aux Etoiles de l’Audiovisuel, été 2019) vient d’achever les musiques du film de Cécile Clairval-Milhaud, « Roger VAILLAND, un écrivain en action », coproduction C.N.C/France 3 Lyon.

NOUVEAU SITE

 

Bientôt le nouveau site de l'UCMF sur vos écrans !

 

 

Pour aider les jeunes !

Jeune musicien, deuxième année de licence « Musique et métiers du son » de Paris-Est Marne la Vallée cherche un stage auprès d’un compositeur de musique de films. Déjà expérimenté (direction de l’équipe musique et son au sein d’un groupe développant le jeu vidéo), pianiste en troisième cycle de conservatoire, improvisation, arrangements et orchestration, mixage et prise de son. Ecrivez-lui : llf@orange.fr

 

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Parce qu’il faut résister !

"La Clef" veut vivre : le cinéma au 34 Rue Daubenton, dans le 5è, fermé depuis avril 2018  est occupé par le collectif "Laissez-nous la Clef". L'objectif de cet espace éphémère est d'obtenir que la salle demeure un cinéma indépendant, associatif, et Art & Essai.

 

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